Manneke, c’est l’histoire d’un fils flanqué d’une mère extravagante au caractère forgé dans le tumulte d’une vie sauvage. Cette mère que nous connaissons tous, pour l’avoir vue trôner en reine-patronne derrière le bar d’un bistrot bruxellois accueillant et désuet.

Manneke, c’est l’histoire de ces quartiers de Bruxelles ou de Liège que nous fréquentons quotidiennement. Ça sent les quais de la Batte, la soupe du dimanche à la place du jeu de Balle, le marché matinal, la première clope de la journée avec un grand café à l’Union ou au Verschu, le goûtu rocailleux de la langue bruxelloise, le trainant magnifique de l’accent liégeois…. Manneke, c’est chez nous quoi !

Manneke, c’est une épopée. L’histoire d’une famille très belge qui émigre des Marolles à Liège avec enfants et grands-parents, mari et amants faibles ou féroces, poules, bouc et chèvres. Ensemble, ils forment une tranche d’humanité où chacun pourra se reconnaître et être, de manière imprévisible, révélé ou touché à vif.

 « Son Manneke sent bon la Belgique zinneke… » (…) « À se plier de rire ! » (Le Soir)

« Un petit bijou ! » (La Libre)