" C’était au temps où Bruxelles rêvait… ». À chaque représentation, Brel revient de l’au-delà !

Tout y est : la ressemblance physique non feinte, la passion d’un amoureux inconditionnel de Brel et de son répertoire magistral, la dédicace intègre et non une vulgaire copie de pantomime, le feu sacré qui chante la poésie, la restitution parfaite de la profondeur des textes…. Filip Jordens n’imite pas mais ré-interprète de telle façon que sur scène, la magie opère : l’espace d’un instant, on dirait que Brel est parmi nous…

Accompagné par un pianiste, un accordéoniste, un contrebassiste et un batteur, le chanteur (mieux connu au nord de notre pays, où la critique est unanime) compose un tour de chant qui reprend les titres de jeunesse comme ceux de la maturité, les plus grands succès comme les joyaux moins connus, de Je ne sais pas à Ne me quitte pas, de Mathilde à Marieke, du Cheval aux Singes, du Plat Pays à Amsterdam, ... Cet hommage bouleversant va combler les aficionados comme ceux qui vont découvrir, avec Filip Jordens, l’univers hors du commun du Grand Jacques.

 "Le chanteur flamand chante le grand Jacques et c’est formidable. Allez l’applaudir ! » (Le soir)