Simon est mort. Il est, selon ses propres voeux, enseveli dans la propriété familiale. Il fait beau. Ils sont six. Frères et soeurs, amants, maris et femmes. Le deuil leur donne le privilège de vivre ce moment intense entre l’absence et le retour aux choses. Il y a dans ces « conversations » le regard complice de l’auteure, un regard interrogateur emprunt d’humour et de tendressesur ces maladroits de l’amour que sont les humains. Un spectacle qui sent bon l’automne, le jardin potager et les dimanches en famille. Créée en co-production avec le Théâtre de Poche de Genève, la pièce nous arrivera par le premier train en octobre avec une distribution belgo-suisse.